A qui s’adresse le garden thérapie ?

Principalement destiné à combattre les troubles neurologiques et sociales, le jardin thérapie peut aussi renforcer l’endurance, l’équilibre et l’endurance. Déjà appliqué dans les maisons de retraite et dans certains hôpitaux, il s’avère être très efficace. Notant qu’il s’adresse particulièrement aux personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et de la dépression. En effet, la perte progressive de la mémoire et le sentiment d’anxiété, disparait avec une pratiquée de jardinage, qui favorise la stimulation des sens, la concentration et l’estime de soi.

Les vertus insoupçonnées

Dotés de nombreuses vertus, le jardinage aide à éveiller les 5 organes de sens, principalement la vue et l’odorat. Il permet ainsi de lutter contre les maladies cardio-respiratoires et la perte de mémoire. En travaillant la terre et en disposant des végétaux colorés, le patient pourrait ranimer ses sens et faire appel à leur souvenir. Outre le fait que ceux qui souffrent de la dépression et du stress chronique, pourrait retrouver le moral et l’apaisement. Grâce à cette pratique de l’hortithérapie en effet, une meilleure qualité du sommeil et une meilleure socialisation est garantie, comme l’adage le confirme « Bien dormir pour mieux vivre ».

La pratique adaptée

Se basant principalement sur la créativité et la motivation, le jardin à visée thérapeutique se pratique facilement comme le jardinage classique. Il s’agit de planter des végétaux, prendre soin du jardin en enlevant les mauvaises herbes ou tailler les buissons, ou cueillir les récoltes d’un potager. A l’aide d’un coach ou travail personnel, le jardin thérapie peut être très efficace.

L’eau de Vichy minéralisant

Caractérisée par ca composition riche en minéraux, l’eau de Vichy est une eau naturelle gazeuse provenant généralement des sources thermales. Disposant de nombreuses vertus médicinales, il peut à la fois traiter les troubles digestions, le problème d’hypertension et surtout les calculs d’acide urique. Cependant, il est important de préciser que le type d’eau recommandé dépend de la nature du calcul. Ainsi, si vous n’êtes pas au courant du type de votre maladie, privilégiez l’hydratation en eau pure ou en jus de fruits.

Le Pissenlit

Le taraxacum ou Pissenlit est connue pour ses diverses propriétés médicinales. Consommé en salade ou en tisane, il est souvent recommandé par les médecins pour soigner rapidement les maladies du foie, l’obésité, l’insuffisance rénale, calcul rénal ou biliaire. Grâce à ses composants riches en potassium, il aide à stimuler l’urine en éliminant les déchets et les cristaux. Outre ses vertus anti-inflammatoires et antivirales qui luttent contre les calculs rénaux et le cholestérol.

Carotte sauvage ou Daucus carota

Une forme de plante dicotylédone, la carotte sauvage pousse généralement dans le sol riche en calcaire. Elle possède diverses propriétés médicales et considéré même comme un remède diurétique. Elle guérit les problèmes de rétention d’eau, prévient les risques d’AVC et de crises cardiaques, et dissout les calculs rénaux. Bouillie, en salade ou en infusion, cette plante miraculeuse s’avère être le meilleur remède pour traiter les problèmes urinaires.

Le citron

Un puissant médicament contre le calcul rénal, le citron contribue rapidement à la disparition des calculs rénaux et biliaires. Grâce à son fort pouvoir d’acide citrique et à ses composants riches en vitamine C, il peut également traiter d’autres maladies comme le cholestérol ou la maladie du foie. Pour être encore plus efficace, vous pouvez le mélanger avec le sirop d’érable, l’huile d’olive ou l’eau de céleri.

La chanca Piedra

Encore appelé Phyllantus niruri, le chanca piedra est utilisé pour le traitement du calcul rénal et autres infections des voies urinaires. Disponible en gélule de 500 mg et en poudre concentré, le chanca piedra est déjà en vente dans les pharmacies. Vous pouvez également acheter les feuilles pour en faire une tisane. Riche en phénolique, cette plante dissout les cristaux aux reins et accroît la dissolubilité en sels minéraux.

Les stimulants naturels à base de plante

Pour soigner rapidement les troubles érectiles et booster la libido, il n’y a rien de plus efficaces que les remèdes naturels. Vous pouvez opter pour le gingembre, un aphrodisiaque puissant permettant d’augmenter la sécrétion sexuelle et améliorer la libido. Il y a également les fameux tribulus à orgasme, qui sont destinés à pallier aux problèmes d’éjaculation précoce et à stimuler la vigueur sexuelle. Il en est de même pour le Shisandra et pour le romarin, possédant des multiples vertus aphrodisiaques, ils sont généralement utilisés comme huiles essentielles de bain.

Les médicaments type viagra ou implants péniens

Aussi appelée pilule de l’impuissance, le viagra sert généralement à remédier aux dysfonctionnements érectiles. Disponibles en plaquette ou en boites de 12 comprimés, il s’avère être très efficace ayant un résultat immédiat. Vous pouvez en prendre 30 minutes à une heure avant l’acte sexuel et la dose maximale est limitée à 100 mg par jour. Il est par contre déconseillé aux personnes souffrant de maladies rénales et aux personnes âgées plus de 65 ans.
La solution chirurgicale est aussi proposée pour un résultat durable, il s’agit de l’implant ou prothèse pénienne. Il existe différents types de prothèse et le choix varie en fonction des antécédents médicaux du concerné. Pour s’y faire, vous devez prendre l’avis d’un médecin.

Chasser le stress et la routine

Les troubles sexuels sont pour la plupart d’origine psychologique. Ainsi, pour profiter d’une vie sexuelle épanouie, vous devez combattre le stress et pimenter votre vie de couple. N’hésitez pas à consulter des psychothérapeutes ou en parler directement à votre partenaire. Pour vous assurer un moment de détente, pensez à partir en vacances ou accordez-vous des rendez-vous romantiques.

Effectuer un bilan de santé

Devant les troubles sexuelles fréquentes, il est recommandé de faire un bilan général de santé. Elles peuvent être en effet liées à l’âge, à des maladies cardiovasculaires ou énonciateurs d’autres maladies. Pour vous rassurer et pour dépister rapidement les causes de vos problèmes, pensez donc à réaliser des examens de santé, qui sont généralement gratuits pour ceux qui sont affiliés au régime général.

Pas de remboursement par la sécurité sociale pour les soins ostéopathiques

Pour faire simple, l’ostéopathie fait référence à une méthode non conventionnelle consistant à manipuler manuellement les os, les articulations et les muscles dans le but de soulager ou de prévenir certains maux. Compte tenu de ce statut non conventionnel, tous les traitements ostéopathiques ne sont pas pris en charge par la Sécurité Sociale. Ainsi, cette dernière ne rembourse pas les frais engagés pour les actes d’ostéopathie même si les soins ont été prodigués par un ostéopathe diplômé.
Il peut arriver qu’un ostéopathe propose à son patient de lui dresser une feuille de soins pour obtenir un remboursement auprès de la Sécurité Sociale, ce qui est tout à fait illégal. Le fait d’accepter cette proposition rend le patient complice de fraude à l’Assurance Maladie.
Cependant, dans le cas où les soins ostéopathiques ont été réalisés par un kinésithérapeute, une infirmière ou un médecin dans le cadre d’un soin médical classique, le patient est en droit de profiter d’un remboursement auprès de la Sécurité Sociale.

Un remboursement auprès des mutuelles santé

Il est possible de demander un remboursement des soins ostéopathiques auprès des mutuelles de santé. Les ostéopathes à Biarritz comme https://www.anne-ferdinand.com/, les ostéopathes de Paris, les ostéopathes de Toulouse et de toute la France connaissent un statut notoire actuellement puisqu’ils sont reconnus comme des bienfaiteurs pour soulager les maux du corps. Suivant la mutuelle, différents modes de remboursement peuvent être adoptés. Certaines proposent un forfait à l’année, d’autres en revanche, effectuent une prise en charge à la séance. Ainsi, avant de souscrire à une police d’assurance, il est important de bien lire et de comprendre correctement les clauses du contrat. En cas de doute sur le choix à réaliser, le patient peut demander conseil auprès de sa mutuelle ou directement auprès de son ostéopathe.

Les causes et les symptômes de l’insuffisance rénale

Plusieurs causes sont à l’origine de cette maladie des reins, parfois certaines maladies peuvent l’entraîner comme l’hypertension artérielle et le diabète. La consommation excessive et sur une longue durée de médicament comme les antalgiques et de produit toxique peut aussi représenter un facteur de risque. Parmi les causes, on retrouve également les affections héréditaires et les infections chroniques des voies urinaires. L’insuffisance rénale se traduit par de nombreux symptômes alertant notamment la réduction de volume de l’urine et une douleur ressentie pendant la miction. Et l’envie d’uriner est très fréquente, et l’urine présente souvent une couleur plus foncée. Sur le visage, on peut constater une enflure des paupières. Tout comme les paupières, les chevilles, les jambes et les pieds peuvent aussi enfler. A tout cela s’ajoutent d’autres symptômes comme les nausées et les vomissements, une perte d’appétit, une grosse fatigue, une forte migraine, une insomnie et des crampes. Et sans oublier des douleurs insupportables au bas du dos ou sur les côtés du bassin.

Comment prévenir et traiter l’insuffisance rénale ?

Il est possible de prévenir cette maladie en limitant les facteurs de risque. Si vous souffrez par exemple de maladies chroniques comme le diabète ou d’hypertension artérielle, suivez tous les conseils et le traitement que votre médecin vous recommande. Gardez toujours un œil sur votre tension artérielle et évitez autant que possible la consommation d’alcool, de drogues et d’anti-douleurs. Lorsque vous êtes atteint d’infection des voies urinaires, consultez immédiatement un médecin pour obtenir un traitement dans les meilleurs délais.
Si vous souffrez déjà d’insuffisance rénale, vous devez suivre un régime alimentaire strict pour éviter de fatiguer davantage vos reins. L’apport en protéines est réduit, tout comme l’apport en acides gras, et en sodium. La consommation de liquides est aussi limitée (eau, thé, café, lait, etc.). Si le régime alimentaire n’est pas suffisant, des traitements médicaux sont recommandés. La dialyse est souvent inévitable, celle-ci est de deux types : la dialyse péritonéale, et l’hémodialyse. Seul un médecin peut choisir le traitement adapté à chaque cas.

Les signes d’alerte

Avant de soigner la douleur, il faut déterminer sa cause. Elle peut survenir à cause des stress, la prise de médicaments trop pesants pour le système digestif, l’excès d’alcool ou encore l’existence d’une bactérie appelée Helicobacter pylori. Mais comment savoir si votre maladie est très grave ou au premier stade ? La douleur insupportable sur le ventre, la sensation de brûlure ou les crampes digestifs sont les premiers signes. Ils peuvent encore être soignés par des remèdes naturels et par une bonne habitude alimentaire. Les vomissements de sang ou autres signes d’hémorragie sont par contre synonymes d’urgence.

Les soins naturels

Si vous avez de bons réflexes, vous arrêterez tout de suite les boissons alcoolisés, les aliments gras et piquants. En cas de brûlure à l’estomac, buvez du jus de pomme de terre, c’est un remède très efficace. Les bicarbonates peuvent aussi vous aider. Prenez-en une petite cuillerée à café. L’argile verte est aussi à prendre en compte. Vous pouvez en mettre dans de l’eau et le boire ou en faire un masque et la mettre sur le creux de l’estomac. Si votre maladie est encore à son premier stade, il n’y a rien d’inquiétant alors ne vous affolez pas ! Elle n’est que passagère et peut être soigné par des remèdes traditionnels. Le plus important c’est d’adopter de bonnes habitudes alimentaires, ne sautez pas les repas. Evitez de boire du lait chaud, elle ne fait qu’empirer votre cas.

Ce qu’il faut savoir du cancer colorectal

Le cancer du colon touche autant les femmes que les hommes. Cette pathologie se forme dans le gros intestin. Au début, c’est-à-dire lorsqu’il commence à se développer, aucun symptôme n’est relevée mais la maladie s’aggrave pourtant et se manifeste plus tard. Parmi les symptômes les plus courants, on retrouve par exemple la perte de poids accompagnée de la perte d’appétit, les diarrhées et les vomissements réguliers, une grosse fatigue, la présence de sang dans les matières fécales, etc. Mais plusieurs examens doivent être faits pour confirmer qu’il s’agisse bien de cancer colorectal. En effet, certains symptômes peuvent indiquer d’autres maladies. Si la maladie est détectée plus tôt, les chances de guérison sont bien plus nombreuses. Dans ce cas là, il est fortement conseillé de procéder au dépistage régulier sachant que 9 cas sur 10 peuvent être guéris si la maladie est traitée à temps. Et la prévention est aussi à prendre en compte, pour cela, il faut adopter un meilleur style de vie.

Quelques bons conseils pour la prévention

L’objectif de la prévention est de prévenir les risques, il faut commencer par une bonne alimentation :
• privilégier les fruits et légumes
• réduire la consommation de viande rouge et évitez autant que possible les viandes dites « transformées », idem pour les charcuteries et les grillades.
• boire beaucoup de lait (ou consommer des produits laitiers) car selon des études le lait permet de lutter contre ce type de cancer
• boire abondamment d’eau
• consommer des céréales et des légumineuses comme l’avoine, les fèves, les pois chiches, etc.
• éviter les gras surtout les « mauvais gras » qui favorisent le cancer colorectal
A part une bonne alimentation, il est aussi conseillé de prendre de l’alcool et de fumer. Les activités physiques sont recommandées, elles permettent de réduire considérablement les risques du cancer colorectal.