Le grand retour de la bronchiolite

Depuis quelque temps, la bronchiolite a fait son grand come-back, au grand dam des parents et des petits qui paient le prix fort. Elle sévit notamment en automne et en hiver et il a été constaté qu’elle touche surtout les enfants de moins de deux ans. Comment faire pour protéger au mieux votre enfant de cette infection virale ? Etant donné que la bronchiolite est très contagieuse, aussi, si un membre de la famille a le rhume chez vous, évitez de le mettre en contact avec votre bébé. Vous-même, en période épidémique de bronchiolite, ayez l’habitude de vous laver les mains fréquemment, en les savonnant naturellement, en particulier si vous venez de l’extérieur ou d’un lieu public.

Des gestes à adopter

Si vous devez sortir avec votre bébé, ayez toujours une solution hydroalcoolique dans votre sac afin de vous laver les mains avec avant de lui donner son goûter, sa tétine ou son biberon. Que votre bébé soit malade ou pas, ayez pour réflexe de toujours nettoyer son nez au sérum physiologique, matin et soir. Ainsi, même si jamais votre bébé s’enrhume, cela ne va pas dégénérer en bronchiolite. Si possible, continuez à allaiter votre bébé, cela permet de booster son système immunitaire et de lui fournir les anticorps qui l’aideront à lutter contre les infections.

Les principaux symptômes de l’endométriose

Pour reconnaître qu’une femme est atteinte d’endométriose, il y a certains signes qui ne trompent pas. Comme il a été dit plus tôt, cette maladie est généralement asymptomatique, mais on recense quand même certains cas où la femme vit des douleurs violentes. Ces dernières apparaissent lors des menstruations, mais également durant les rapports sexuels. Parfois, l’endométriose amène même un problème de fertilité.
Dans des cas plus sévères, on peut même noter une apparition de kystes ovariens qui risquent d’éclater sans traitement. Ces kystes peuvent se former au niveau des organes se situant à proximité des ovaires, créant encore plus de douleurs chez la femme. Cependant, cela n’arrive que dans des cas très rares.

Les procédures de diagnostic et les traitements adaptés

Pour procéder à un diagnostic d’une endométriose, il est essentiel de passer plusieurs tests auprès d’un médecin et d’un gynécologue. Ils détermineront au cours de leurs observations s’il y a la présence d’un kyste et en déterminer la source. À ce jour, il est encore difficile de directement poser le diagnostic de cette maladie.
Pour les traitements, on préconise la laparoscopie qui est effectuée par un chirurgien. C’est une opération qui consiste à observer l’intérieur du petit bassin de la femme avec une caméra et enlever les tissus formés par l’endométriose en même temps. Pour les traitements médicamenteux, ils sont à base d’anti-inflammatoires et hormonaux.

L’ail, on sait tous que c’est un condiment qui permet de donner de la senteur et de la saveur aux plats. Il a été utilisé en cuisine depuis la nuit des temps. Cependant, ce que l’on ne sait pas, c’est son véritable apport sur notre organisme, et notamment, ses bienfaits sur la santé. Riche en antioxydants, il est logique qu’on sache ses apports sur notre organisme et les maladies qu’il peut combattre.

Les principales maladies qui peuvent être guéries par l’ail

L’un des principaux atouts de l’ail, c’est sa richesse en antioxydants. Il se consomme surtout cuit, rajouté à la nourriture, mais il est mieux de le croquer cru. La teneur en antioxydants est bien meilleure lorsqu’il est mangé cru. Concernant votre santé, l’ail est un excellent allié pour prévenir les cas de cancer. Il ne le guérit pas, mais stoppe la prolifération des cellules cancéreuses dans l’organisme. On peut par exemple, noter que l’ail a une action positive contre les cellules cancéreuses au niveau de l’estomac, mais aussi, celles qui attaquent la gorge ou encore, l’ovaire et le côlon. De plus, la consommation régulière d’ail permet de renforcer le système immunitaire. Ce qui permet à l’organisme d’être plus combatif face aux attaques des cellules cancéreuses et leur prolifération. Ensuite, c’est un aliment qui vous permet de réguler le taux de cholestérol dans le sang et qui, par conséquent, améliore la circulation sanguine. L’ail est donc, un bon allié pour éviter d’avoir des maladies du cœur et de limiter les risques de maladies cardiovasculaires. Les antioxydants vont permettre au sang de bien circuler et être bien fluide. En d’autres termes, il permet d’éviter la formation de caillots qui bouchent les vaisseaux sanguins. Autres vertus de cet aliment, c’est son action contre les verrues. Si vous avez de la verrue sur la peau, il suffit de prendre une gousse d’ail est de frotter cette dernière sur la verrue. Cette action est à répéter tous les jours jusqu’à ce que la verrue disparaisse. Ensuite, sachez aussi que l’ail permet de lutter contre les agents allergènes. Les cellules réagissent mieux face à une exposition à des vecteurs allergisants, chez les sujets qui consomment plus d’ail. Et enfin, l’ail est aussi un bon remède pour traiter les acnés. Comme sur la verrue, il suffit d’en appliquer sur votre bouton et de refaire l’action jusqu’à ce que l’acné disparaisse.

D’autres vertus non négligeables

Mise à part ses actions directes sur la santé, l’ail est aussi un bon allié pour affiner votre ligne. Pour ce faire, plusieurs micronutriments sont disponibles dans la composition naturelle de l’ail afin de vous aider à maintenir votre poids idéal. Parmi cela, il y a la présence de calcium, mais aussi, de vitamines C et A qui est disponible avec une bonne teneur pour combler les besoins d’une personne au quotidien. L’ail est aussi un aliment riche en potassium et aide au métabolisme en stimulant le processus de combustion des calories. Par ailleurs, c’est aussi un aliment qui déclenche la sensation de satiété et permet, dans ce cas, de se limiter et de se maitriser devant la nourriture. Sachez également que l’ail a un excellent taux d’allicine. C’est un élément qui permet de renforcer la qualité des racines de vos cheveux et qui permet d’éviter la chute de ces derniers. C’est aussi un bon allié pour traiter la présence de pellicules sur le cuir chevelu. Et si vous voulez de beaux ongles, traitez-les en appliquant un peu d’ail pilé sur la surface. Cela les nourrit. L’ail est aussi un condiment qui s’applique sur les ongles abimés afin de les traiter efficacement.

L’endométriose

C’est une maladie de l’endomètre qui désigne le tissu tapissant à l’intérieur de l’utérus. À chaque achèvement de cycle chez les femmes, l’endomètre se grossit pour recevoir une éventuelle nidation et s’il n’y a pas de grossesse, le complément d’épaisseur de ce tissu sera évacué lors des menstruations. Mais quand une femme est victime d’endométriose, le complément d’épaisseur de l’endomètre va en dehors de l’utérus, par exemple vers les trompes de Fallope, les ovaires, les ligaments de l’utérus ou sur sa surface externe. On peut aussi voir ce tissu sur les intestins, dans la vessie et les reins, mais plus rarement. Dans des cas extrêmes rares, le tissu peut atteindre les membres et les poumons. N’importe où dans le corps, ce tissu affecte les hormones féminines et peut provoquer des saignements, des kystes et des douleurs.

Comment se manifeste l’endométriose et à quoi elle est due ?

Les principaux symptômes de la maladie sont les fortes douleurs abdominales, les douleurs pendant les rapports sexuels et les saignements génitaux. Elle peut aussi se manifester par l’infertilité. Mais généralement, l’endométriose est asymptomatique. L’endométriose peut être due par le changement des cellules péritonéales, le dysfonctionnement du système immunitaire et le changement de la circulation du sang des règles. Ses facteurs de risque sont nombreux, par exemple l’infertilité, la survenue des règles à un âge précoce, de forts taux d’estrogènes dans le sang, des courts cycles menstruels, une faible indice de masse, les anomalies utérines, la ménopause tardive et autre. L’endométriose apparaît souvent après des années de règles et les symptômes s’effacent pendant la grossesse. À la ménopause, l’endométriose disparait automatiquement et totalement.

Facteur 1 : l’excès de cholestérol

Dans ce cas, le cholestérol se dépose sur les parois des artères. Ces plaques de graisses vont petit à petit s’épaissir et rendre les artères plus étroites. Par conséquent, le sang aura du mal à circuler. Au fil du temps, des caillots vont se former. À ce stade, les risques d’accidents vasculaires cérébraux et de mort subite sont très élevés.

Facteur 2 : le diabète

Le diabète en lui seul est déjà une maladie assez grave. Mais, il peut aussi entrainer des complications multiples. En effet, cet état favorise le vieillissement prématuré des artères et accélérer ainsi le processus d’athérosclérose. Cela justifie la prescription de médication pour surveiller la pression artérielle chez les personnes diabétiques.

Facteur 3 : l’hypertension artérielle

Pour faire simple, la tension artérielle fait référence à la force que le cœur doit exercer pour propulser le sang à travers l’ensemble du corps. Il y a hypertension, lorsque cette pression est au-dessus de la normale. Cette activité va fatiguer le cœur plus rapidement et précocement. Avec le temps, le cœur va être de moins en moins performant. Dans ce cas, les risques d’insuffisance cardiaque sont très probables.

Facteur 4 : le surpoids

Présenter un excès de poids n’est jamais bon pour la santé. Mais, le risque le plus sérieux est l’hypertension artérielle. De plus, qui dit obésité dit beaucoup de graisse. Ainsi, les risques de formation d’athérome sur les parois des artères sont très élevés. La présence de ces athéromes augmente le risque d’infarctus. Mais, s’ajoutent aussi à ces problèmes les risques veineux comme l’embolie pulmonaire.

Facteur 5 : le tabagisme

Chez les sujets fumeurs, le carbone transporté dans le sang est remplacé par l’oxyde de carbone. Cela va favoriser les dépôts de cholestérol sur les parois des artères. De plus, la nicotine entraine une augmentation de la tension artérielle. Chez la femme, le tabagisme associé à la prise de pilule est un duo des plus dangereux. En effet, ce cocktail augmente les chances d’apparition des risques de thrombose.

Les symptômes du malaise

Ce trouble désigne un malaise sans la perte de connaissance. A préciser qu’il ne s’agit pas d’une maladie proprement dite. On le reconnait aussi sous d’autres appellations comme l’évanouissement, les lourdines, et les vertiges. La lipothymie est de courte durée, c’est la raison pour laquelle elle n’est pas toujours inquiétante. Mais il convient de préciser qu’elle peut être un symptôme d’une maladie grave ou d’autres pathologies moins alarmantes. Même si le malaise n’est que passager, il peut se traduire par de nombreux troubles notamment l’hypersudation, la pâleur, des oreilles qui bourdonnent, et bien d’autres encore. Puisque l’individu ne perd pas connaissance, il peut entendre et voir ce qui se passe autour de lui : la perte de connaissance n’est que partielle. La lipothymie précède souvent ce qu’on appelle malaise vagal.

Causes et diagnostic

Qu’est ce qui peut causer ce trouble ? Les causes sont nombreuses, la spasmophilie peut par exemple l’engendrer. Entre autres, on retrouve d’autres causes comme une forte chaleur ou un gros effort. La fatigue et le surmenage, ou le stress et l’angoisse sont souvent à l’origine de la Lipothymie. Une émotion intense et une douleur insupportable peuvent aussi causer ce trouble. Sans oublier la déshydratation qui est une cause assez fréquente. Certaines personnes à la simple vue du sang peuvent s’évanouir sans perdre entièrement connaissance. Le diagnostic de la lipothymie consiste à vérifier si le malaise est causé ou non par une maladie grave. Il permet aussi de vérifier s’il ne s’agit pas d’hypoglycémie, de crise d’épilepsie ou d’autres troubles neurologiques. Si le malaise est répétitif, il ne faut plus attendre pour consulter, le médecin peut procéder à un ECG.

Les principales causes de la Lombalgie

La lombalgie est cette douleur que l’on localise juste au bas du dos. On peut distinguer trois types de douleurs dont une qui soit aiguë, une autre subaiguë et enfin une dernière chronique. La douleur aiguë peut avoir une durée de 1 mois environ, la subaiguë peut durer entre 1 mois et 3 mois. Tandis que la douleur chronique dure plus longtemps, plus qu’un trimestre. Les causes peuvent être très variées mais souvent la lombalgie est banale et n’est pas un symptôme d’une autre maladie plus grave. Parmi les causes les plus fréquentes on retrouve la lésion localisée sur un muscle, un ligament ou encore un tendon. Ensuite, on a la dégénérescence discale lorsqu’un disque n’a plus l’élasticité qu’il faut. Parmi les causes fréquentes, on a aussi l’hernie discale, un trouble gynécologique comme les règles douloureuses, et l’arthrose. A préciser que la douleur peut vraiment être intense dans certains cas.

Comment la soulager ?

Lorsque l’origine du trouble est déterminée, il est plus facile de le soulager. Il existe des solutions douces pour soulager efficacement la douleur. Par exemple, faire un exercice qui pourrait éviter au dos de se tasser. Ou bien faire une position relaxante afin que le dos puisse s’étendre efficacement. Il existe aussi des plantes qui ont des vertus apaisantes comme la Griffe du Diable qui est un véritable anti-inflammatoire et le Piment de Cayenne qui est une anti-douleur absolument efficace. Outre ces solutions douces, le traitement médicamenteux peut aussi soulager la lombalgie : les médicaments les plus prescrits sont des antalgiques et des anti-inflammatoires. Le port de ceinture lombaire peut également être très apaisant : on peut le porter en permanence ou plusieurs heures dans la journée. La bouillotte est une solution simple que tout le monde peut essayer pour atténuer la douleur au bas du dos.

Les causes et les symptômes de l’insuffisance rénale

Plusieurs causes sont à l’origine de cette maladie des reins, parfois certaines maladies peuvent l’entraîner comme l’hypertension artérielle et le diabète. La consommation excessive et sur une longue durée de médicament comme les antalgiques et de produit toxique peut aussi représenter un facteur de risque. Parmi les causes, on retrouve également les affections héréditaires et les infections chroniques des voies urinaires. L’insuffisance rénale se traduit par de nombreux symptômes alertant notamment la réduction de volume de l’urine et une douleur ressentie pendant la miction. Et l’envie d’uriner est très fréquente, et l’urine présente souvent une couleur plus foncée. Sur le visage, on peut constater une enflure des paupières. Tout comme les paupières, les chevilles, les jambes et les pieds peuvent aussi enfler. A tout cela s’ajoutent d’autres symptômes comme les nausées et les vomissements, une perte d’appétit, une grosse fatigue, une forte migraine, une insomnie et des crampes. Et sans oublier des douleurs insupportables au bas du dos ou sur les côtés du bassin.

Comment prévenir et traiter l’insuffisance rénale ?

Il est possible de prévenir cette maladie en limitant les facteurs de risque. Si vous souffrez par exemple de maladies chroniques comme le diabète ou d’hypertension artérielle, suivez tous les conseils et le traitement que votre médecin vous recommande. Gardez toujours un œil sur votre tension artérielle et évitez autant que possible la consommation d’alcool, de drogues et d’anti-douleurs. Lorsque vous êtes atteint d’infection des voies urinaires, consultez immédiatement un médecin pour obtenir un traitement dans les meilleurs délais.
Si vous souffrez déjà d’insuffisance rénale, vous devez suivre un régime alimentaire strict pour éviter de fatiguer davantage vos reins. L’apport en protéines est réduit, tout comme l’apport en acides gras, et en sodium. La consommation de liquides est aussi limitée (eau, thé, café, lait, etc.). Si le régime alimentaire n’est pas suffisant, des traitements médicaux sont recommandés. La dialyse est souvent inévitable, celle-ci est de deux types : la dialyse péritonéale, et l’hémodialyse. Seul un médecin peut choisir le traitement adapté à chaque cas.

Les signes d’alerte

Avant de soigner la douleur, il faut déterminer sa cause. Elle peut survenir à cause des stress, la prise de médicaments trop pesants pour le système digestif, l’excès d’alcool ou encore l’existence d’une bactérie appelée Helicobacter pylori. Mais comment savoir si votre maladie est très grave ou au premier stade ? La douleur insupportable sur le ventre, la sensation de brûlure ou les crampes digestifs sont les premiers signes. Ils peuvent encore être soignés par des remèdes naturels et par une bonne habitude alimentaire. Les vomissements de sang ou autres signes d’hémorragie sont par contre synonymes d’urgence.

Les soins naturels

Si vous avez de bons réflexes, vous arrêterez tout de suite les boissons alcoolisés, les aliments gras et piquants. En cas de brûlure à l’estomac, buvez du jus de pomme de terre, c’est un remède très efficace. Les bicarbonates peuvent aussi vous aider. Prenez-en une petite cuillerée à café. L’argile verte est aussi à prendre en compte. Vous pouvez en mettre dans de l’eau et le boire ou en faire un masque et la mettre sur le creux de l’estomac. Si votre maladie est encore à son premier stade, il n’y a rien d’inquiétant alors ne vous affolez pas ! Elle n’est que passagère et peut être soigné par des remèdes traditionnels. Le plus important c’est d’adopter de bonnes habitudes alimentaires, ne sautez pas les repas. Evitez de boire du lait chaud, elle ne fait qu’empirer votre cas.

Ce qu’il faut savoir du cancer colorectal

Le cancer du colon touche autant les femmes que les hommes. Cette pathologie se forme dans le gros intestin. Au début, c’est-à-dire lorsqu’il commence à se développer, aucun symptôme n’est relevée mais la maladie s’aggrave pourtant et se manifeste plus tard. Parmi les symptômes les plus courants, on retrouve par exemple la perte de poids accompagnée de la perte d’appétit, les diarrhées et les vomissements réguliers, une grosse fatigue, la présence de sang dans les matières fécales, etc. Mais plusieurs examens doivent être faits pour confirmer qu’il s’agisse bien de cancer colorectal. En effet, certains symptômes peuvent indiquer d’autres maladies. Si la maladie est détectée plus tôt, les chances de guérison sont bien plus nombreuses. Dans ce cas là, il est fortement conseillé de procéder au dépistage régulier sachant que 9 cas sur 10 peuvent être guéris si la maladie est traitée à temps. Et la prévention est aussi à prendre en compte, pour cela, il faut adopter un meilleur style de vie.

Quelques bons conseils pour la prévention

L’objectif de la prévention est de prévenir les risques, il faut commencer par une bonne alimentation :
• privilégier les fruits et légumes
• réduire la consommation de viande rouge et évitez autant que possible les viandes dites « transformées », idem pour les charcuteries et les grillades.
• boire beaucoup de lait (ou consommer des produits laitiers) car selon des études le lait permet de lutter contre ce type de cancer
• boire abondamment d’eau
• consommer des céréales et des légumineuses comme l’avoine, les fèves, les pois chiches, etc.
• éviter les gras surtout les « mauvais gras » qui favorisent le cancer colorectal
A part une bonne alimentation, il est aussi conseillé de prendre de l’alcool et de fumer. Les activités physiques sont recommandées, elles permettent de réduire considérablement les risques du cancer colorectal.